Les communes rurales dans les périphéries de la plus grande ville du Burkina Faso, Ouagadougou,  sont sujettes à plusieurs maux sociaux au titre desquels nous pouvons identifier le cas des enfants déscolarisés. Par faute du minimum vital pour assurer une meilleure éducation à leur progéniture et surtout leur permettre de suivre un cursus scolaire complet, les parents justifient tant bien que mal le travail de leurs enfants mineurs. Abandonnés à eux même à la recherche de la pitance quotidienne, ces enfants sont soit des vendeurs ambulants, soit des employés domestiques dans des familles en ville, soit en apprentissage dans un atelier de travail. Nous avons choisi de partager un repas communautaire avec les enfants démunis de la commune rurale de Saaba où réside des membres de l’association.

Nous plaçons cette journée de partage sous le thème des droits des enfants dans le but de sensibiliser les parents sur la nécessité de la scolarisation des enfants, de leur épanouissement et de l’importance de leur santé.